USA -- Micro-puces et ondes radioélectriques pour créer des « pilules intelligentes ».

La nouvelle génération de médicament
avec micropuce intégrée Source : Le journal du siècle

Quand la réalité dépasse la Fiction : TEVA (Israël) et la société MicroChip Biotech (USA) viennent de signer un accord de développement. Une micro puce sera administrée avec le médicament. Le principe est qu’une fois implantée la puce associée au médicament délivrera de façon programmée la dose sur des mois, voire des années.  Les traitements concernés pourront être par exemple, l’ostéoporose ou l’hypothyroïdie.

  

L’ère du micro-puçage pharmaceutique est maintenant devant nous. Novartis AG, l’une des plus importantes sociétés pharmaceutiques dans le monde, a dévoilé un projet afin de commencer à implanter des micro-puces dans des médicaments dans le but de créer une technologie de « pilule intelligente ».

La technologie de micro-puçage est brevetée par Proteus Biomedical à Redwood City, Californie. Une fois activée par l’acide de l’estomac, la micro-puce intégrée commence à détecter son environnement et à émettre des données à un récepteur utilisé par le patient. Ce récepteur est également un émetteur qui peut envoyer les données par Internet à un médecin.

L’idée derrière tout cela est de créer des « pilules intelligentes » qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques.

La suite est à lire sur le site "Sain et Naturel "  (ICI).

"Le courant de haute-fréquence est capté par le patch de surveillance portée par le patient. Le système de surveillance est capable de discerner les paramètres biophysiques comme le rythme cardiaque, la respiration, la posture du corps ainsi que l’état du sommeil. L’information peut ensuite être transmise sur les appareils mobiles ou l’ordinateur du médecin qui pourrait décider de changer les dosages ou de changer complètement de médicaments."

(Source : le Journal du siècle du 7 septembre 2012)

Sujet fort intéressant sur le plan technique, mais, à la lecture de ces deux articles de presse, de nombreuses de questions demeurent sans réponse.  Inquiétant, non ?

Source : "Sain et Naturel"   --  "Le Journal du Siècle"

Richard

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